- Café -
Crépuscule abyssal d'un Liquide
Assoiffé de sa force limpide Forçant le profond des rides Et d'un reflet, fiévreux et perfide. - Tabac - Trauma d'un nuage fuyant le rêve Au grés de la mort aux lévres Béantes tel fumée de dune. Arbore le rouge éphémére d'une Cendre purgatoire d'infortune. - Plume - Putréfiant la vierge au sang bleu L'iris coule en feuilles feu. Urine divine, et que Mort sans suite Ecorche les âmes que mon encre irrite. Joseph.K
Le délire
RépondreSupprimerLe soleil fermante au fond de lui-même
Et la lune déclinante ne m’éclaire plus
Il faut mourir devant l’absence de lueur
Ou bien crier comme une guitare électrique.
Il faut trouer la nuit pour avaler le mal
Pour cracher le venin que cache les fleurs
ampoule quasi morte
A la lumière jaune d’une ampoule quasi morte,
dans ce perpétuel dont de toi-même, je renais.
Ton visage atteint la plénitude comme un soleil noir
Dans un jaillissement trop violent, l’âme peut éclater
Et, nous gisons à l’orée d’un monde en ruines
Ne pouvant boire l’élixir de la vie, il nous faut se noyer.
Hippolyte