L'euryphote dans la villeL'euryphote, de ville en ville vrille désirs dans des vestiges aux vertiges qui scintillent pourpre - cet alcool prescrit par besoin de rires et de rimes et d'ouïes infinis afin de, capter enfin le battement qu'est d'exister au sein partagé d'autrui, d'autres, et de soi - et ces corps proscrits par un oeil faible comme une cervelle, brillant d'un refus mensonger de mordre quelques chaires, quelques orales, tout est sommeil mais ne s'endort jamais.
dérègle en coraux
ses rêves que l'eau
endort sous les cils.
L'euryphote en villePaupières en nuit. Et la forêt. Des arbres à croiser dans des manèges nocturnes, pâle copie d'eux-même l'euryphote, et son regard d'aigle perdu au sol cherche, du fond rouge des interdits jusqu'au frais diurne quelques reflets en nuance, quelques peaux sucrées, sus aux restes l'euryphote, au niveau d'herbe ou d'un trottoir ridé, cela selon ces yeux, crèverai pour sentir, dans sa chute qu'il sait, un peu en lui, sur les lèvres d'une - lectrice - au moins prit-il, dans la voix, un peu de Carroll, Lewis.
amasse L'Ombilic
de limbes
en limbes.
L'euryphote
en cime
perle de rire
une sorte de livre.
Deslogis
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