Il en fallu des rimes pour t'aimer,ton corps assuré rouge ancré aux mains de bétons'use à hocher pour mangerà hocher pour mangerà hocher pour manger.Le noeud à l'oeil et l'équilibre ailleurs,l'opinion c'est la faimsans équilibre à l'oeil, l'ailleurs en noeud,c'est la faim la peur assurel'oeil ailleurs en équilibre boucle,il parait.Le récit s'est transporté en servitude au pluriel dont tu n'es qu'un.Tu manges là vers la faim face feignante au cube et c'est le cube qui parle, ta bouche pleine, pour le moment.L'estomac chiale tes rancoeurs et toi sourds tu t'aspirines.La salle autour t'imite et toi pour tu l'imites.On demande et tu réponds.Tu m'as pris même mon sexe, mon pinceau, et tu sillonnes mes coups avec même mon nom, mon pipeau.Tu m'as mis à prix coûtant quoi.Mais j'existe à toi tu es,j'existe et donc puis serais.Deslogis
« Nous nous moquons des curiosités et des espoirs de quelques amateurs, de quelques marchands, de tous les esthètes. Nous cherchons des complices.» Paul Nougé
lundi 29 novembre 2010
Le bruit et l'artifice
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