D'un temps l'autre rien ne changea. Le ciel un peu tombait mais rien d'espiègle. La terre hurla sans haine mais hurla quand-même. Des hommes au nord hurlèrent aussi, pleins ; de la neige ! voulait-il au désert. Et de la chaude, de l'ailleurs ou de la sienne, à lui, qui se chausse en couleur. Et puis des pieds lisses, comme au plastique des images où la mort s'est suée, c'est qu'aux pays des Alisses on étudie la comm', comme un centriste. D'un temps l'autre ici, rien ne changea, la plaine en haut des âmes armées jusqu'au ailes, perturbophobes ornée de luxe. Et la crise m'a fait bander lourd et j'eu la même joie vibrante qu'en jugeant la sale juive cachée aux fonds des chiottes, à me baver sa peine en franche allure. L'automne aussi a ses démons, la neige avortée n'y changea rien, d'un temps l'autre au temps sans fin.
Deslogis
Anti-fades
RépondreSupprimerJe dirais que c’est avant tout
Des passions toutes jeunes
Qui vont grandir et qui ne sont pas prêtes de vieillir
Et qu’on appelle : une nouvelle génération
Comment je la sens ? Imprévisible...
Comment elle s’est constituée, forgée, formée ?
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/04/anti-fades/