Un corps pour masse
Ferme les pas amertume
L'espoir s'efface
Au terme du joint se consume.
Par ses seins, elle,
Suzanne, sait, pour allaiter
L'enfant de sel,
Vivre droite jusqu'à l'été.
Un rien pour masse
L'avenir est absent des livres
L'espoir trépasse
Au ferme soin des pensées ivres
Eux ils s'enfument
Au pays où jamais ne grêle
Rien ne s'assume
Qu'à peine un peu de leur réel.
Propriété
Aux faux bonheur loin de l'angoisse
Lui n'y été
Non plus au temps des pétasses
Pour survivre
Suzanne, les yeux clos, abdique
Son lait givre
Comme son opinion laïque.
Deslogis
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