dimanche 19 septembre 2010

Ηλιάνα (Iliána)


Loin d'Iliána - et au plus près de ses merveilles -
Les cafés sombrent et là des larmes pendent et se boivent
Un roi par jour s'en va
Et laisse creux les toits
Qui se lassent
Grands ouverts les toits se pendent et là des larmes
Tournent les armes d'Iliána les abattent.

Près d'Iliána - et au sommet de son sommeil -
Les cafés sobres et les nues larmes vendent et se savent
Un roi par jour s'en bat
Et laisse feu les toits
Qui s'amassent
Bien fermés les toits se vendent et là des larmes
Mortes les armes d'Iliána responsables.

Mais Iliàna - sans son confort n'est que vermeil -
Assoiffée d'Ogres là où ses larmes rendent les armes
Ses rois si sourds s'emparent
Loin des masses
Aux yeux clos sans toits qui rendent le poids des larmes
Moins lourdes. Une arme. Iliána trépasse.

Deslogis


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