vendredi 19 décembre 2008

Abymes subjectives


Et Gide pleure et Gide pleure juqu'à rubicond,
et Angelo Badalamenti sonne, tiraille
d'un excés d'oeil torve poussant le cri dolant
de nos oeuvres éparses.

Ma poésie laudative est assertion.
Que mes mots soit le Styx de ta torpeur.

Joseph.K

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