mercredi 30 mars 2011

Ces choses là n'ont pas d'avenir



Les siècles sur la route semblait s'inscrire entre les failles que le mur épuisé laissait vaincre. La rousse et ses seins loin des espaces actuels mais pourtant au levé de tout jugement sur l'utile là, l'ami du mieux bien déversé. Il eut cogné sa mère en songe, parfois au pinceau rouge c'est vrai, et le maudit l'avait intronisé face au cube-tube décontenant ; quant à suinter autant que le ciel le punissait c'en était trop pour ce monolithe. Tout Dieu mis à part. C'est de ta faute, sifflait-il en peignant, à ton sensible soi barbare. Un autoportrait adroit plus tard il attrapa la crainte de l'orteil d'un ongle l'autre et s'inonda d'alarmes. Les siècles sur la route semblait s'inscrire entre les failles que le mur épuisé laissait vaincre. Une conscience plus tôt il aimait danser bohème sans écho macabre, il eut aussi serré des siens pour peser vain, la gueule aidée par le reflet sage et le mot fluide, l'aise de son épaule haussait encore après la pause années des hommes, après la crasse crue soude blanche, chose à avenir, le corps crispé par son jet d'aune il crut mourir, enfin, la rousse et ses seins pour seul espace éternel. Au levé de tout jugement sur l'utile l'amant perdra, courbe.

Deslogis

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