vendredi 5 mars 2010

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La plate volupté et le pauvre mystère
Que de n'être pas vu. - Paul Éluard

La musique creuse le ciel. - Charles Baudelaire

C'était un paysage comme celui qu'un homme effrayé regarde. - Maurice Maeterlinck

Les villes répondaient maintenant par centaines
Je ne distinguais plus leurs paroles lointaines. - Guillaume Apollinaire

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Là. Croise le ciel - do - récite un café, sous la tyrannie des globes. Las. Dessine tes hanches (à l'avance), je -mi - un autre. J'ai peur. J'ai peur - fa - toi, de toi. Vu ! Non... J'ai peur. Ne te connais pas. Jamais vu. Je n'ai de toi - mi - même pas l'idée mais. J'ai peur. Bois. Se mêlent là bois et toi, fers et pierres. Croise le ciel au front - ré - de toi - fa -. Coiffé ou de quoi, pour toi. Je (autre) nu sans métro. Toi, ou toi si mieux, si plus. Si belle - do- j'ai peur. Si-je-ce-n'est-que pour toi. Ce n'est que puisque tu n'y es pas dans les bois hurlant. Sinon la ville, pourquoi. Pour toi passé - peu présente - futur, le seul. C'est pour toi belle que Ville est mon requiem - ré - qui en nuit freine. Je marche peur espère t'. Et cent villes déjà je crois -mi -. De formes, Ville et toi mes antres.

Je veux
beauté des cieux verts ta rencontre mes yeux et tes flanches
et puis
d'immédiat
crisse moi et mon fort et moi qu'empoigne rouge tes flots d'immondices

Je veux.
Mais marche. J'ai peur - ré -. Mais -mi -
Au coin d'un creux minuit un homme (autre).

Je crois qu'il...
...mais je sais qu'il se lumière et d'orange comme sa folle fille qu'il enlèvre sans croix le sang des cernes ce feu volé voulu et cru

un fil et nos doigts

Deslogis

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La plate volupté et le pauvre mystère
Que de n'être pas vu. - Paul Eluard

La musique creuse le ciel. - Charles Baudelaire

C'était un paysage comme celui qu'un homme effrayé regarde. - Maurice Maeterlinck

Les villes répondaient maintenant par centaines
Je ne distinguais plus leurs paroles lointaines. - Guillaume Apollinaire

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