samedi 4 octobre 2008

Au café où tu m'as violé



No pasaran,
Que la noyade soit lente sous la nébuleuse
Matière noire de mon âme pleureuse
Hippolyte, tremble à ses mots ; je te vois,
Ruons-nous sous la pluie lassante
Que l'ailleurs nous attende avant que morte.
Je te sais, t'inhale, et garde ta fumée à m'étouffer,
Mais il est beau de mourir en l'autre.


Joseph.K

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