samedi 8 novembre 2008

Ricordando, Scavando, Salutando(ci)

Salut mes amis, c'est moi, j'écris en italien, je peux pas en français.
Il y a parmi vous un personnage qui peux traduire, essayez ...
Excusez moi pour le retard, ça faisait beaucoup de temps que j'avais envie de mettre ça ici, je pense que c'est approprié, ou peut être pas.

Cammino.
La strada è stetta ed a quel tipico odore che solo le veccie strade hanno.
Qui io vivo, qui io ho vissuto. Qui io non vivrò.
Da un anno a questa parte tutto è cambiato. In questo anno io sono cambiato.

E tra un po’ dovrò lasciare la terra promessa, dovrò ritornate a migrare per i porti di invinite varianti delle quali, forse, coglierò un decimo delle possibilità che potrebbero offrirmi.

Cissà come sarà tornare in quel posto che sempre ho chiamato casa, che sempre ho amato e che sempre ho odiato.
La mi aspetta il futuro, od almeno una parte di esso. Lo spero.
Si torna a studiare il troppe volte superfluo, il troppe volte inutile. Si torna alle sole uscite fine settimanali, alle relazioni che non possono avere il peso di relazioni costruite qui.

Perché qui un mese basta a farti conoscere una persona. Qui si vive insieme, là, si sopravvive insieme.
Che bello sarebbe poter vivere insieme, altrove, non importa troppo dove purchè via, non nel mezzo del vuoto.

Perché anche se lì si trova tutto ciò che piu amo, la mia testa lì non vuole piu restare.

Suonatore Jones

Traduction: ( par O.Valvos )
.
Chemin.
La rue est étroite et a cette typique couleur que seulement les vielles rues ont.
Ici j’y vis, ici j’y est vécu. Ici je n’y vivrai pas.
Depuis une année vers ici, tout à changé. Dans cette année j’ai changé.

Et dans peu longtemps je devrai laisser la terre promise, je devrai retourner à émigrer vers les ports d’infinies variantes desquels, peut être, je ramasserai une dizaine des possibilités qu'ils pourraient m’offrir.

Qui sait comment se sera de retourner dans ce lieu que toujours j’ai appelé maison, que toujours j’ai aimé, et que toujours j’ai détesté.
Ici m’y attend le futur, ou au moins une partie de celui-la. Je l’espère.
Retour à étudier ce qui est trop souvent superflue, ce qui est trop souvent inutile. Retour aux habituelles sortis du week-end, aux relations qui ne peuvent pas avoir le poids des relations construites ici.

Parce qu’ici un mois c’est suffisant pour te faire connaître une personne. Ici on vit ensemble, la bas, on survie ensemble.
Comment ce serait beau de pouvoir vivre ensemble, ailleurs, ce n’est pas grave où tandis que se soit ailleurs, pas au milieu de rien.

Parce que même si là-bas il y a tout ce que j’aime, ma tête la bas n’y veut plus rester.


Suonatore Jones

2 commentaires:

  1. bello vederti qua!!!!!! dopo provo di tradurreil testo. Come va la vitta sarda? Ci sentiamo!!!!!

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  2. Fra, c'est génial que tu viennes écrire ici, même en italien, c'est bien ca donne des couleurs, tu devrais continuer.

    C'est extrémement touchant ce que tu dis, et c'est trés vrais, ce sentiments on le partage tous avec toi, Dani, Thomas et moi on ressent ça.

    Nos âmes et nos esprits sont encore, et pour toujours, dans le Toulouse de l'année 2007/2008 ; où que nous soyons physiquement, rien ne change cela.

    A la mémoire éternelle de notre "meilleur jeunesse" comme le disait si bien Pasolini...

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