vendredi 12 novembre 2010

Premier couplet de la première partie encore non nommée d'une fresque indépendante par nature : L'Image Unique Aux Réels Des Ailleurs

Ils y sont gras aux mains entamées d'hostile où le vin sèche et suinte quelques honneurs. Des fin-fonds de rues ont déjà la vue au présent (nous nous y trouvons là en son entré). Pourquoi ceux-là fument à crever sans donner ni même un peu se laisser aimer (nous nous ferons aimer) c'est un mystère aussi vague et indolore, mais rouge, que les dos brisés par un souffle constant dont la flamme se partage et la gâchette à chacun.
Le vivant aux archives.
Le cocu est de soi issu du sale en toi ; il a la lame la plus profonde quand même elle sut l'humeur du sang.
L'Homme est envers la place pris par son ombre. Des commandements sans communauté il oublia sur le coup la crainte de la victime. Et l'Histoire commença ses tours.
Au-delà quelques Artistes , révoltés parce que fils, s'arrêtèrent pour mieux conter ; ils s'arrêtent pour mieux conter. Et s'arrêteront à chacune de leurs morts premières. Seul fixe la drogue pour mouvement.
Ce n'est qu'un tour de son après que l'Homme pensant doubler l'Artiste compris le Temps et les micro-ondes. Reculer n'est qu'une réalité, tout homme est sombre.
Ce paysage mutant parce que l'Artiste, de son point, stabilise. Généreux hypocrite ! que le sein guide à la tombe des imaginaires.
La drogue c'est le geste sans intention d'un regard haut.
Ce détournement emmuré se pioche d'abord.



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