mercredi 10 novembre 2010

Prélude

Nous amorcerons par l'emprunte des non-sons la force cruelle du partage en d'autres gains. De vous à toi il faut risquer la fin avant la fin, le véritable orgueil de la morsure d'art d'où la fente en l'oculaire globule en larmes opaques. Le règne au dessus des châteaux d'or par l'emprunte des non-sons ici tâché de sens, n'est qu'en mort au rien des apogées. C'est seul.
La force cruelle du partage. Elle a l'aura des inconnus contés en frein des peurs. Le pas bâtard, hissé d'un vagin miel et vendu par d'atroces ambitions (et rien n'assure laquelle). Ce n'est que de soi qu'on sent l'émotion. Tu te seras compris en ces lignes sans intention que d'être intention. Retournes-toi de sens au temps des ombres assez libres et là au lien toujours est le mouvement. Que tes yeux (c'est une demande sincère et brutale) ne voient plus que le mouvement.
C'est une demande sincère et brutale que l'emprunt de ta force cruelle du partage en ses gains que je t'assure. Ta mort heureuse à moi je termine ta sculpture informe en auto-portrait aglué aux miroirs. C'n'est pas très beau de vous à toi donc de tout. Oui c'est toi qui fait ma demande sincère et brutale. J'ai l'emprunte pour exemple d'un poète en Facebook à visage commun et sourire d'idée, usant des rites sans omissions en implosion de mensonges. C'est la force cruelle du partage. Je veux t'aider, je m'ennuie.

Deslogis

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